dimanche 28 septembre 2014

Analyse - les Russes ont l'arme la plus puissante au monde

La Russie possède l’arme la plus puissante au monde, beaucoup plus puissante que l’arme atomique. Elle s’appelle – l’amour !

19.09.2014


Cette arme est imperceptible pour les radars les plus performants et les personnes cyniques, mais, si on réfléchit bien, c’est justement elle qui, depuis des siècles, permet à la Russie de rester indépendante en empêchant les agresseurs de la conquérir et de la détruire.

La Russie et le peuple russe, comme un tout unique, vivent par amour, et cela se manifeste par l’aspiration à la justice, par la compassion au chagrin de chaque personne sur la planète, par la solidarité avec les opprimés et la douceur envers les peuples et les nations qui sont passés sous les mains du mal.

Seule la Russie est capable de combattre le nazisme, le racisme et d’autres formes du mal mondial et ne pas s’aigrir contre leurs porteurs. Seulement les Russes ont pu pardonner aux Allemands, même sans trop de paroles de remords de leur part et, en fait, leur offrir une nation allemande unique.


Seulement les Russes peuvent pardonner de terribles affronts, non rachetés par le sang de l’offenseur, et des dettes énormes en les retranchant contre une nouvelle aide. Seulement les Russes peuvent éprouver la honte, parce qu’ils n’ont pas protégé un pays lointain d’Afrique contre le bandit mondial, et se réjouir du fond de leur âme, parce qu’ils ont protégé la Syrie de ce dernier.

Nous ne remarquons même pas d’illogisme d’un tel comportement pour la conscience pragmatique égoïste. Pour nous, c’est une norme morale. Et chaque écart de celle-ci est perçu de façon plus douloureuse que toute perte matérielle qui nous a été infligée.

Pourquoi les Russes ne sont-ils pas conscients de leur arme principale ? C’est très simple : un véritable amour ne peut pas être narcissique, la douceur sincère et la bonté ne se font jamais valoir elles-mêmes, sinon ce n’est plus une vertu.

Les Russes se critiqueront beaucoup plus facilement pour la paresse, la mauvaise gestion, les imbéciles et les mauvaises routes, qu’ils ne se feront l’éloge du fait qu’ils sont braves sans pareil et qu’ils vivent avec de l’amour dans le cœur.

Si l’on commence à le leur expliquer, dans le meilleur des cas, ils se détourneront genre "laissez-moi tranquille", ou tout simplement vous accuseront de faux pathos et vous diront leurs quatre vérités sur l’intrépide réalité russe. Nous ne nous affectionnons pas ni nos meilleures qualités, et c’est incorrigible.

Mais probablement, c’est justement comme ça que cela devrait être.

Sinon, on perdra notre douce et tendre force.

Régulièrement, on essaye de nous sevrer d’être russe, on nous a réduit en cendres les entrailles données par Dieu, débordant d’amour pour l’univers, plus d’une fois : en 1917 les bolcheviks, en 90 les libéraux, encore plus tôt, au 19ème siècle, toutes sortes de roturiers et de révolutionnaires, et, même encore plus tôt, dans la Russie Moscovite – des dégénérés et des judaïsants.

Cependant, malgré toutes les blessures importantes qui nous ont été infligées par des Virusses (personnes d’origine russe, mais qui ont adhéré aux non-Russes, pour lesquelles la langue russe n’est pas leur langue maternelle, qui ne s’appellent pas Russes et ne sont pas conducteurs de la culture russe, NDT), la Russie est restée russe et regarde le monde toujours avec amour.

Aussi soviétiques ou fanatiques orthodoxes, rouges ou blancs (qui, je rappelle, n’étaient aucunement partisans de l’autocratie), anarchistes ou constructeurs de prisons des nations, Occidentaux ou Asiatiques qu’on nous représentait, aussi méchants qu’on nous peignait, nous restons ceux qui ne peuvent qu’être – Russes en esprit, suivant le Christ par vocation et par amour pour chacun créé à son image.

Avec toute l’occidentalisation externe de l’existence russe, la plupart des Russes garde dans l’inconscient quelque chose qui lui permet de rester russe, et notamment : une attitude pacifique sur la réalité qui l’entoure et le rejet du mal sous toutes ses formes.

Nos manières rudes et l’absence de sourire, qui surprennent tant les Occidentaux et les cosmopolites, en réalité ne sont rien d’autre qu’un mécanisme de défense pour maintenir une perception pure, naïve et enfantine du monde. L’amour est très vulnérable, c’est ainsi.

Sur l’arène internationale, la douceur de la Russie est clairement exprimée, surtout maintenant, quand on essaye de nous contraindre à l’agression et à la démonstration de la colère, quand une nouvelle "croisade" est déclarée contre nous. À certains peuples, vivant principalement du côté ouest de la Russie, cela paraît être un signe de faiblesse. La douceur des Russes a toujours provoqué chez eux un sentiment d’impunité, ce qui a conduit aux actes irréfléchis et à l’agression contre la Russie.

Et ce qui est étonnant – c’est que leur rage sauvage, la haine des "sous-hommes" russes et leur racisme mal dissimulés (comme aujourd’hui) ou même francs (comme sous Hitler), se heurtaient non pas à une rage réciproque, mais à une force douce et miséricorde. Non pas la force douce que l’on appelle le mensonge dans l’espace de l’information, mais la puissance héroïque douce qui est une caractéristique propre aux Russes.

Quand dans l’ennemi nous ne voyons pas le mal en soi, sinon l’âme ruinée par le mal qu’il faut sauver.

Les Russes spirituellement sont toujours au-dessus de leurs ennemis, sans succomber à leur haine et sans multiplier le mal.

Dans le même temps, les Russes ne se surélèvent pas ostensiblement au-dessus de l’ennemi et même l’égalent avec lui afin de ne pas lui donner de raison de s’aigrir une fois de plus.

Les Russes ne sont pas rancuniers, et ce n’est ni exprès ni pour la façade, ils ne peuvent rien y faire, tel est le don de Dieu.

On défie, on aboie, et même on enfonce des bâtons, on jette des pierres à la Russie, comme à cet énorme ours somnolent dans sa tanière – et lui, en réponse, appelle paresseusement et en douceur à la paix et à l’amitié. Et nous le faisons avec sincérité, sans aucun calcul astucieux.

Beaucoup, même en Russie, sont étonnés comment Moscou officielle en réponse aux explosions de haine de la part des pays européens, les traite avec des mots d’amitié et d’égalité : en disant, « les gars, arrêtez vos mauvaises plaisanteries, embrassons-nous plutôt. » Mais les étreintes avec l’ours, pour l’Europe élevée, pendant des siècles, sur la peur de la horde sauvage de l’Est, cela équivaut à une défaite.

Ils comprennent que les embrassades douces de l’ours peuvent étouffer leur âme anglo-saxonne d’un seul trait. Et si on permet aux Russes de construire un espace ouvert de Lisbonne à Vladivostok, comme le propose toujours Vladimir Poutine, aussitôt il s’avèrera que l’Europe est devenue le métochion russe, tandis que Lisbonne s’est transformée en une autre lointaine petite ville russe sur la rive de l’océan.

L’amour de la Russie a désarmé de nombreux peuples de l’Eurasie, qui, non sans offenses réciproques, mais harmonieusement dans l’ensemble, se sont joints au peuple russe, et grâce à la protection du Tsar blanc ont survécu et ont préservé leur identité. Il est peu probable que cela se reproduise avec l’Europe, néanmoins il en a terriblement peur.

Toutefois, le principal antagoniste de la Russie et de la vision russe du monde de l’amour et de la justice n’est même pas la vieille Europe, mais la civilisation américaine obsédée par son exclusivité qu’elle a mise au monde. La principale source des vagues de haine et d’agression contre le peuple russe des deux derniers siècles, ce sont précisément les "maîtres blancs" de « l’empire du bien et de la meilleure démocratie du monde. »

Des nazis allemands et des russophobes polonais s’y sont aussi bien installés parce que c’est leur environnement, leur impression d’un nouvel ordre mondial, qui est impossible sans la destruction de la Russie. Et dans la dernière future bataille dont les événements sanglants en Ukraine ne sont qu’un épisode, les Russes, naturellement, ne pourront pas éviter la contre-violence.

Cependant, d’une part, nous l’éviterons jusqu’à tout dernier recours, et, d’autre part, auparavant, nous aurons la compassion pour les marionnettes trompées. Nous ferons tout pour ne pas permettre de semer en nous la haine et ne pas laisser croître le mal dans le monde.

Ce sera une rage noble, inspirée par le devoir sacré de retenir l’humanité de l’abîme, purifiant le monde.

Seulement ainsi, nous ne pouvons pas faire autrement.

Par le journaliste, Eduard Birov
Agence centrale d’information de Novorussie
Novorus.info

Source : novorus.info-news : Россия обладает наиболее мощным оружием в мире, многократно превосходящим атомное. Имя ему – ЛЮБОВЬ!
Traduction : GalCha

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire